Dossiers informatifs > Dossier Veille/IE > Lettre I/E
La Lettre de l'Intelligence Economique et Strategique, éditée par un groupe de journalistes professionnels et de consultants spécialisés, c'est tous les mois depuis 1999 l'opportunité de découvrir les dernières informations du mois : l'actualité du secteur, les évènements à ne pas manquer, les documents incontournables, les sites les plus pertinents, les nouveautés bibliographiques , bref des sources uniques et souvent inédites. La lettre de l'I.E.S est la première lettre francophone sur l'I.E et le KM.
La Lettre
de l'Intelligence Economique et Stratégique
(L. IES ) est réalisée par Infobox-fr - Agence de contenu éditorial
pour site Web - Département de Groupe I.Com
Directeurs-Associés : Maxime PAULET - Journaliste/Consultant et Philippe
VILLE
Collaboration rédactionnelle et documentaire : Aïcha Bala - Yann Ker
- Isabelle Delamare - Dave Vincent
Nous vous proposons de consulter le sommaire en ligne, puis de lire la totalité de la lettre IES au format PDF.
Nouvelle formule 30 novembre 2001
Maxime
Paulet - A.Bala - D.Renard
INFOBOX-Fr. Agence de contenu
L'agendates
/ Formations / Vu
et entendu...pour vous / Dico-glossaire/
Sites et livres du mois
A la une : Presse et Web en revue / Actupro
/Outil
PARIS - 30 novembre 2001 - Conférence Petit-déjeuner
SCIP France
Petit-déjeuner de SCIP France - de 8h30 à 10h30 à
l'Hôtel Ambassador, 75009 PARIS.
Les intervenants des cabinets CIM et CAIRN EXECUTIVE (ex-Miallot), respectivement
Mme J. Bruffaerts-Thomas et M. P. Batel, reviendront sur Les points forts
du Congrès SCIP 2001 à Seattle, notamment sur les notions
de retour sur investissement des actions d'IE et la modélisation
des réseaux d'entreprises.
Rens : Monica Bourdila. Tel. 01 43 56 83 84 - Fax. 01 43 56 84
Londres
- 6 décembre 2001
En marge du salon On Line 2001 qui se tient à Londres du 4 au 6
décembre, le Groupement Francais de l'Industrie de l'Information
organise de 9h à 12h 30 dans les salons du Novotel London West
( Hammersmith) une table ronde sur « logiques et enjeux de le concentration
dans le secteur de l'information professionnelle »
Participation gratuite - sous réserve d'inscription (gfii@gfii.asso.fr)
Contact presse - RuthMartinez - Céline Rijaud : Tél : 01
43 72 96 52 - fax : 01 43 72 56 04
Marseille
- 5 au 7 décembre 2001
NET EXPO - 2ème édition du salon méditerranéen
de l'Internet.
Contact : tél : 04 42 70 00 06 - Web : www.salon-netexpo.com
93162
- Noisy le Grand - 7 décembre 2001 (A.B)
Groupe ESIEE-MISTE - Cité Descartes
Dans le prolongement du succès de la journée du 24 avril
dernier, consacrée aux outils de recherche et de traitement de
l'information stratégique, le Mastère spécialisé
en Intelligence Scientifique Technique et Economique (MISTE-ESIEE) a décidé
d'organiser un colloque sur le Knowledge Management intitulé :
"De la capitalisation des connaissances à l'innovation »
Le CEA, le LAMSADE (Université Paris-Dauphine) et BB&J Consulting
sont parties prenantes pour l'organisation de cette journée.
Le public pourra participer aux conférences, visiter les ateliers
et les stands. Les entreprises pourront exposer leurs solutions sur des
stands qu'elles peuvent louer.
L'entrée au colloque est libre sur inscription préalable.
Au programme : des exposés courts sur la problématique du
colloque, des solutions préconisées par les éditeurs
de logiciels et les consultants, enfin des retours d'expérience
et une ouverture vers un très large débat.
Renseignements pour l'inscription : Téléphone : 01 45 92
65 00 - Télécopie : 01 45 92 66 99
Inscription par e-mail : kminnov@esiee.fr
Nimes
- 10 au 14 décembre 2001
Nimes TIC - Congrès scientifique sur les rapports entre l'homme
et le système d'information
Ecole des Mines d'Alès - site EERIE - Tél : 04 66 38 70
06 - Web : www.nimestic.com
(en cours de construction)
Paris
- 11 et 12 décembre 2001
Veille en partenariat avec SCIP France « comment faire converger
la Veille, les connaissances interne et les réseaux d'experts pour
le partage, la valorisation, la formalisation, la diffusion de l'information
à valeur ajoutée.
Rens : Anne-Françoise Cacheux - tél. 01 46 99 50 68 - cacheux@iir-fr.com
- site Internet http://www.iir-fr.com
Paris
- 11 décembre 2001-
Conférence -petit déjeuner au Cercle de l'Union Interalliée
33 Rue du Fg St Honoré- 75008 Paris de 8h 15 à 10 h
Organisé par Eric Gaillat, administrateur du Club Parisien des
Professions financières ( Centre National des Professions financieres)
et directeur associé de FIDYA Partners
Rens et inscription préalable au petit déjjeuner obligatoire
- auprés du secrétariat du Club Parisien des Professions
Financières. Tél : 01 44 94 02 55
Intervention de l'Amiral Pierre Lacoste sur « les bouleversements
de da la Géopolitique mondiale »
Paris
- 11 decembre 2001
IAE - Club de l'Intell.Economique et Strategique
Première réunion de travail ( vers 19h.30 ) animée
par Mme Danièle Bretelle-Desmazières sur « le partage
des connaissances en entreprise » - Infos : jeromebondu@hotmail.com
et aaeiaep@club-internet.fr
- ouvert aux non membres (tarif 80F-12 euros) - fin de réunion
vers 22h - IAE de Paris 21 Rue Broca
Paris
- 20 décembre De 17h à 19h
CCIParis Auditorium Mercure - 27 Av de Friedland - réunion de bilan
du pôle français et du voyage d'étude du GFII (Groupement
Françaisde l'Industrie de l'Information) sur On line Londres
PARIS
- 20 decembre:
ASPROM conscacre un forum aux PME innovantes
Le jeudi 20 decembre, dans les locaux du Senat et sous la direction de
son president, C. Poncelet, Veille Technologique, la revue d'ASPROM, consacre
une journee de conferences consacree aux PME-PMI francaises innovantes
dans le secteur des communica
Toute linfo : http://www.edgnetworks.com/article/index_article.php3?id=i3bfd37e7b1fb9
Paris
- 21 au 23 janvier 2002
Centre Français du Commerce Extèrieur - 3ème édition
des Electronic Business Days, organisé par l'Association pour le
Développment des Echanges électroniques - Programme détaillé
sur le site http://www.eb-days.com.
- Bulletins d'inscription doivent être retirés auprès
d'Edifrance - tél. 01 56 68 80 40 - fax 01 56 68 80 41 -
mèl edifrance@wanadoo.fr-
e-mail : juliette-dewavrin@edifrance.org
Paris
- 23 au 25 janvier
Paris La Défense - CNIT -
Semaine de la Relation Client - rens : Exposium : tél : 01 49 68
52 87 - Web : semaine-client.com
Paris
- mars 2002
Colloque virtuel « e-text, Ecrans et réseaux, vers une transformation
du rapport à l´écrit ? Un événement
Web sur le site www.text-e.org.
La Bibliothèque publique d'information du Centre Pompidou, l´Institut
Jean Nicod (C.N.R.S. et > E.H.E.S.S.), l'association EURO-EDU et GiantChair,
Inc., organisent depuis le 15 octobre 2001 jusqu'en mars 2002 un colloque
trilingue (français, italien, anglais) entièrement virtuel
autour des effets des NTIC sur nos rapports à l´information
et à l´écrit. Pour plus d'informations, voir le site
susmentionné
STAGES - SEMINAIRES - FORMATION
MEDIAVEILLE
- Formation interentreprises -
Recherche sur Internet / Rechercher efficacement des informations sur
le net. -
3 décembre - Lieu : Paris
Recherche optimisée sur Internet - identifier des sources dinformation
professionnelles et sectorielles, effectuer des recherches thématiques
.
4-5 décembre. Lieu : Paris
Mediaveille Paris - Tour Montparnasse - 33 avenue du Maine 75755 Paris
cedex 15
Tél (serv Cial) : 0 800 71 50 50 - E-mail : paris@mediaveille.com
INSTITUTE
FOR INTERNATIONAL RESEARCH (IIR)
En partenariat avec SCIP - Dates :11 et 12 décembre 2001
- « Comment faire converger la veille, les connaissances internes
et les réseaux dexperts pour le partage, la valorisation,
la formalisation, la diffusionde linformation à valeur ajoutée
»
Inscription et information : Tél : 01 46 99 50 10 - Mail : info@iir-fr.com
LES RENCONTRES
DAFFAIRES
Du 3 au 5 décembre - Formation sur le thème « Manager
et positionner la documentation dans la nouvelle société
de linformation » -infs : www.lra.fr/docarchi/html/index.html*
Du 4 au 5 décembre - paris - Formation dédiée à
la veille automatique sur Internet : maitriser la recherche manuelle et
semi-automatique...Infos : www.lra.fr/docarchi/html/index.html
COLLEGE POLYTECHNIQUE
- Séminaires
17 et 18 janvier 2002 - Intelligence économique et Veille technologique
: enjeux, méthodes et outils. Resp du séminaire : Jean-Pierre
LORRAIN - Lieu : Colleège de Polytechnique 17 Rue du 4 Septembre
- 75002 Paris.
Tél : 01 42 60 37 12 - site : www.collegepolytechnique.com
FORMATION - CURSUS
EM Lyon -
Mastère Spécialisé en Management des Connaissances
LEcole de Management de Lyon (EM Lyon) lance cette année
un nouveau mastère spécialisé, dédié
au management des connaissances. Dans la lignée de celui du CERAM
qui vient de regrouper IE et KM (cf. Lettre du mois doctobre), la
formation vise à fournir les bases aux élèves de
ce mastère concernant la conduite de projets dans ce domaine (animation
de réseaux, système IE, Bases de connaissances, Intranet
et projets transversaux). Fort dun partenariat avec IBM, dont certains
professionnels interviendront dans le cadre du cursus, lEM Lyon
ambitionne de devenir lun des acteurs incontournables de la formation
de haut niveau sur le segment du KM en France. Ce mastère sadresse
aux jeunes diplômés ainsi quaux cadres expérimentés
déjà en poste.
A découvrir
à lESC Toulouse : le Mastère Spécialisé
en IE et Stratégie dentreprise (MSIESe)
Octobre 2001 a vu la rentrée de la 3ème promotion du Mastère
MS-IESe proposé conjointement par lÉcole Supérieure
de Commerce et l'Institut National Polytechnique de Toulouse. Inauguré
en novembre 99 par Monsieur Henri MARTRE, Président d'Honneur d'Aérospatiale
Matra et Président de l'AFNOR, ce cursus est centré sur
quatre dominantes fortes : Management et Stratégie dentreprise,
Information et Système dinformation, Repères internationaux
et Sécurité et Intelligence économique (www.esc-toulouse.net/ms/iese).
Partenaire avec plusieurs Directions de la Stratégie dentreprises
prestigieuses (EADS, SNCF, ELF, Lectra, Actielec Technologies), elle offre
chaque année à ses étudiants des intervenants de
qualité et des débouchés importants. On citera, entre
autres, des postes liés à la gestion de linformation
stratégique (analyste, animateur de réseaux internes, responsable
de centre dinformation
), ou des postes en tant que Chargé
de veille ou de benchmarking au sein de cabinets de conseil comme Nemesia
ou Marketing Intelligence. Renseignements : Madame Martine BOUTARY, Groupe
ESC Toulouse., m.boutary@esc-toulouse.fr,
Tel : +33 (0)5.61.29.48.68, Fax : +33 (0)5.61.23.32.79.
Conférence
sur la Sécurité des SI, organisée par THALES, Paris,
07/11/01 ( D.R)
Cette journée annuelle sur la sécurité des SI, lancée
pour la première fois cette année, sest tenu aux salons
de lÉtoile Hôtel Napoléon le 7 novembre 2001.
Devant un parterre de responsables informatiques et de professionnels
de la sécurité informatique, cette manifestation sest
déroulée autour de 2 axes : la sécurité à
proprement parler et la pratique humaine de linfo-dominance. Ainsi,
les participants ont pu écouter, en ce qui concerne le premier
axe, les explications brillantes et les points de vue, entre autres de
J.M. Lagarde, Directeur du Domaine Sécurité des SI de Thalès
ainsi que P. Hébrard, expert en cryptologie. Pour la partie info-dominance,
ce sont les experts de lEGE, M. Harbulot et lAmiral Lacoste,
qui ont détaillé les grandes lignes du concept du faible
au fort et ses implications dans le conflit actuel au Moyen-Orient.
La TRIBUNE DU CLUB de lIntelligence Economique et Strategique
( IAE) par J.Bondu
François Jakobiak est intervenu au sein du Club d'IES le 8 novembre,
sur le " benchmarking des pratiques d'IE ". L'IE inspire la
discrétion et peu d'entreprises communiquent sur ce qu'elles font
en la matière. D'où la difficulté - et par la même
l'intérêt - de traiter un tel sujet.
S'appuyant sur diverses sources - dont le numéro 4 de la Revue
d'Intelligence Economique, les recommandations d'un spécialiste
américain Léonard Fuld, et les prescriptions de l'APQC2
- passées au filtre de sa riche expérience personnelle,
M. Jakobiak nous a dressé un panorama des bonnes pratiques en matière
d'IE. L'IE est avant tout un outil d'aide à la décision,
qui se base sur une bonne gestion des informations. Cet outil doit être
piloté par la direction générale. Il n'y a pas de
formules miracles, et le plus important est de bien " coller "
à la structure et à la culture de l'entreprise. En aucun
cas, l'IE ne peut se réduire à un système de logiciel,
aussi perfectionné soit-il. Et l'espionnage doit en être
proscrit. Alors que l'on assiste parfois dans les entreprise à
des courses aux logiciels, alors que les non-avertis font encore l'amalgame
entre IE (Intelligence Economique) et EI (Espionnage Industriel), revenir
aux fondamentaux est comme une bouée d'oxygène. Et cela
est d'autant plus agréable qu'elle nous a été apportée
avec tout le dynamisme et la bonne humeur dont M. Jakobiak sait faire
preuve.
Quelques aspects développés au cours de la conférence
Définition et objectifs de lIE
LIE à lorigine, est partie du domaine spécifique
de la veille technologique, pour devenir un domaine
plus global comprenant des problématiques de veille concurrentielle
et stratégique. Sil fallait
sélectionner trois mots clés, ce serait : innovation, compétitivité
et concurrence.
Bien que proche de ce que lon appelle « Knowledge Mangement
» ou « gestion des connaissances »,
lun et lautre sont deux notions différentes et complémentaires.
La notion fondamentale, en IE , est quil ny a pas de recette
toute faite. Un premier facteur de
différenciation, est que selon que lentreprise se situe à
un échelon national, transnational ou
international, les besoins en matière dIE seront complètement
différents. Les affrontements et la
compétition à ces différents niveaux ne sont pas
du même ordre.
A ce propos, M. Jakobiak tord le coup au concept de « guerre économique
». Car le combat entre
entreprise, loin dêtre une guerre au sens propre, ouvre la
porte à beaucoup de coopération, « ce que
lon ne trouve pas dans une guerre » nous fait remarquer lorateur.
Toute entreprise peut devoir
travailler, collaborer avec des entreprises qui sont par ailleurs des
concurrents sur dautres marchés
( M. Pierre Barber lors de sa conférence sur « la sécurité
des informations » au Club IES, avait lui aussi insisté sur
limportance
du concept de coopétition (coopération-compétition).
LIE et le benchmarking sont très proches. Tous deux sont
des fonctions qui ont pour but de mener
lentreprise à la première place, pour être la
meilleure.
Définition du benchmarking
Lorigine du mot nous renvoie à des notions de géomètre.
Ce que vise le géomètre pour prendre ses
relevés topographique est appelée une mire. Dont la traduction
en anglais est benchmark. Le
benchmark est donc un point que lon prend pour repère. Point
sur lequel on sappui.
Cest Rober C. Camp, Rank Xerox, qui a le premier théorisé
une méthode détalonnage avec des
entreprises concurrentes pour jauger, évaluer ses propres performances
et les ramener niveau des
meilleurs.
Pouvoir se comparer, nécessite de sy être préparé.
Dans la forme et dans lesprit ! Cela renvoie à nos
modes dapprentissages. Jean-Louis Levet stigmatisait le fait quà
lécole on napprenait jamais à
travailler ensemble (sauf à la maternelle !!!). M. Jakobiak ajoute
que lon apprend pas non plus à
copier et se comparer aux meilleurs.
Mais pour pouvoir se comparer, encore faut-il quune comparaison
soit possible et surtout mesurable !
Mener un benchmarking commence par le choix des points à comparer
et lassurance que les écarts
soient chiffrables.
Il existe quatre types de benchmarking :
- Le benchmarking interne. M. Jakobiak insiste sur les difficultés
que cela peut soulever. « Il
nest pas question de faire cela à la hussarde » insiste-t-il.
Il faut beaucoup de concertation pour éviter les blocages.
- Le benchmarking avec des concurrents directs. Ce qui est par définition
très difficile et
demande dinfinies précautions. Il faut bien définir
la nature et létendu des échanges.
- Le benchmarking par fonction (qui est très proche de la quatrième
acception, le benchmarking
horizontal). Qui consiste en se comparer aux meilleurs quels que soient
les secteurs impliqués.
LIE en France
Sans prétendre à lexhaustivité, M. Jakobiak
est parti du témoignage de Robert Salmon (Dans le RIE, n°4.)
ex-vice président de LOréal en charge de la prospective,
pour nous présenter quelques points importants :
Le principe de base est quune « bonne articulation de la veille,
de lIE et de la prospective permet de
développer une réflexion anticipatrice pour laction
».
Et de développer quatre notions clés :
- Il faut savoir généraliser létonnement.
- La veille doit pouvoir être orientée et être malléable,
de manière à pouvoir englober des sujets
très larges (« grand angle »), et en même temps
faire un focus sur un point de détail (« zoom »).
- LIE impose dinstaurer une logique de coopération
pour la comparaison.
- Enfin, insistant sur limportance du facteur humain, M. Jakobiak
conclue sur le rôle du partage
des informations et des connaissances : « il faut faire accoucher
lexpert de son non dit ». Tout
un programme
On remarquera quil na pas été mention doutil
informatique. Ceux-ci ne sont que des supports
(même essentiels) à la volonté de faire - ou ne pas
faire- de lIE.
Prochaine réunion : 11 décembre 2001 - premiere réunion
de travail animée par Mme Daniele Bretelle-Desmazieres sur le partage
des connaissances en entreprise.( cf agendates)
Létude de J.Bondu ( benchmarking des pratiques dI.E
) publique et gratuite sera disponible a partir de début décembre
2001 sur le site du Club IES à ladresse suivante :
http://www.aaeiae-paris.asso.fr/clubIntelligenceEconomique.html
Corruption - Risques
pays (D.R)
LIndonésie ou un système généralisé
de corruption :
Sous les feux de lactualité avec les tristes évènements
du 11 septembre, lIndonésie apparaît comme une plaque
tournante des mouvements terroristes, qui nont aucun mal a recruté
leurs fidèles sur place. Ces derniers jours, la présidente
actuelle Megawati Sukarnoputri (fille du père de lindépendantisme
de lîle en 1949) vient clairement de prendre ses distances
avec les Etats-Unis en critiquant les raids contre lAfghanistan
(Fil de lAFP, 15/10/2001). Géant de lASEAN avec ses
13000 îles, ses 210 millions dhabitants, dont près
de 90 % sont dobédience musulmane, lIndonésie
inquiète. Mais, lIndonésie, cest également
un paradis de la corruption sur lequel tous les pays occidentaux ont fermé
les yeux depuis le coup détat du général Suharto
en 1965-66, notamment les États-Unis. Présent depuis toujours
parmi les pays les plus corrompus au monde (Sources : GAFI, Transparency
International), ce pays a vu sinstitutionnaliser cette culture de
la corruption et est en train de se balkaniser depuis la chute de son
dictateur. Il est de notoriété publique que ladministration
est « corrompue à tous les niveaux, de bas en haut »
(La Tribune, 11/07/2001). Malgré les pressions répétées
et les mesures prises par le FMI, surtout depuis la crise asiatique de
juillet 1997, il semble que la situation économique désastreuse
du pays nest fait que renforcer cette pratique (Dépêche
Reuters, juin 1999). Le Jakarta Indonesian Corruption Watch (ICW), crée
conjointement fin 1998 par lONU et la Banque Mondiale, existe, constate,
avertit, mais na pas les moyens dagir. La First Private Bank
of Indonesia, proche du cercle Suharto, aurait par exemple, continué
ses évasions fiscales entre 1995 et 2000. Le remplaçant
de Suharto, son Vice-Président et son éminence grise depuis
près de 30 ans, B. J. Habibie, na fait que protéger
les intérêts de la caste Suharto pendant son mandat entre
juin 98 et novembre 99 : sa famille, quelques dizaines de grandes familles
riches sino-indonésiennes de Djakarata et Sumatra, ainsi que les
fidèles parmi les fidèles. Estimée à plus
de 15 milliards de dollars en 1998, la fortune personnelle de Suharto
ne représente quune partie cachée de liceberg
(Sources : Forbes, Time). En effet, ces 6 enfants, fortement impliquées
dans tous les compartiments de léconomie depuis la dérégulation
de 1983, possèderaient au moins 5 milliards de dollars à
travers leurs conglomérats et leurs comptes cachés à
létranger (Enjeux Les Echos, mars 98). Ils continueraient
dailleurs à senrichir (Le Temps, Août 2000).
Lim Sioe Liong, alias Sudono Salim, fidèle de Suharto depuis près
de 50 ans, sest constituée un véritable empire qui
en fait lun des hommes les plus riches au monde (cf. Classement
Forbes). Abdurrahman Wahid, principal chef de file de la délégation
musulmane et Président furtif de lIndonésie entre
lautomne 1999 et lété 2001, a été
destitué en raison une fois encore de scandales financiers. Les
choses nont semble-t-il que peu changées depuis la démission
de Suharto en mai 1998, même si la nouvelle présidente semble
avoir la volonté daller dans le bon sens dans ce domaine
(Le Temps, Août 2001). Ses mesures ne seront-elles quun mirage
comme du temps dHabibie (autorisation des syndicats, libération
de prisonniers politiques
), ou bien osera-t-elle enfin sattaquer
au cur du problème, ce que personne na encore jamais
fait jusquici !
HACKING
/ PROTECTION DES DONNEES (D.R)
Hackers en entreprise
Il est reconnu que certaines entreprises ont eu tendance ces dernières
années à recruter des hackers pour protéger leurs
données sensibles. Ainsi, IBM compte parmi ses employés
une équipe de hackers, basée aux Pays-Bas, chargée
de tester la solidité des défenses de son système.
Le cabinet Ernst & Young, très actif également dans
la sécurité informatique depuis quelques années,
possède également ses spécialistes et fournit des
prestations dintrusions informatiques auprès de ses clients
européens. Selon nos sources, le cabinet de Paris aurait fortement
recruté lannée dernière pour son Département
Computer Forensic. En effet, par qui peut-on être mieux protégé
que par ceux censés attaquer les systèmes de sécurité
des entreprises ? Ce marché, en pleine croissance aux États-Unis
ou la concurrence est rude, saffirme peu à peu ici et possède
un potentiel de croissance très intéressant. La demande
depuis un an est, du reste, très significative.
Crypto
Inside : le logiciel de cryptographie français
Fondée par Marian IDCZAK, Sébastien METAYER et Nicolas LECOEUR,
E-SECUWEB est une start-up créée en février 2001au
sein de l'incubateur StartandSail, premier incubateur havrais dédié
aux nouvelles technologies. Cette jeune société vient de
mettre sur le marché un progiciel de cryptographie, selon ses fondateurs,
"simple d'emploi mais conçu à partir de complexes algorithmes
de cryptage",. Le logiciel répond au nom de Crypto Inside
et ambitionne de se positionner sur le marché très porteur
de la sécurité informatique utilisant cette technologie,
sur lequel on trouve aujourdhui essentiellement des entreprises
anglo-saxonnes. La société a présenté son
logiciel de cryptographie au cours dune conférence de presse
organisée le 25 octobre à Paris. Crypto Inside, "destiné
aux grandes entreprises, comme aux PME/PMI", a été
finalisé après 18 mois d'études et de recherches.
Il a obtenu récemment le feu vert de la D.C.S.S.I. (rattachée
au S.G.D.N. et au Cabinet du Premier Ministre) pour sa commercialisation
en France. Pour de plus amples informations : E-SECUWEB, 34 avenue Foch,
BP 102376063 LE HAVRE cedex, Mail : info@e-secuweb.com.
Cybersurveillance/Vie privée (D.R)
Le
FBI veut voler vos mots de passe
Le
FBI est en train de développer un programme capable de récupérer les mots
de passe utilisés par les internautes pour crypter leurs messages où accéder
à leurs comptes sur le web. Le programme, baptisé Magic Lantern, est de
la famille des chevaux de troie (Trojan), habituellement utilisés pour
prendre le contrôle d'un ordinateur à distance. Il suffit de joindre Magic
Lantern à un email. Si le destinataire clique dessus, le programme s'installe,
et transmet automatique les mots de passe aux officiers du FBI. Mais certains
experts en sécurité informatique doutent déjà de l'efficacité du programme,
qui pourrait être tenu en échec par les antivirus. A lire dans le New
Scientist.
CNDS
: la déontologie de la sécurité ?
La
Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité (CNDS) est une autorité
administrative indépendante, créée par la loi du 6 juin 2000. Elle est
censée permettre le recueil des plaintes de ceux qui ont été victimes
d'un manquement de déontologie de la part des forces de sécurité, publiques
ou privées (www.cnds.fr). Là où le bât
blesse, c'est que cette saisine ne peut se faire que par l'intermédiaire
d'un parlementaire. Bien que très louable, cette mesure, quasi inconnue
du grand public, ne semble pas vraiment apporter grand chose. Le 1er rapport
annuel de la CNDS prévu en avril 2002, je pense, le confirmera. Il serait
plus opportun de créer la CNDPVP ou Commission Nationale de la Déontologie
pour la Protection de la Vie Privée quand on voit aujourd'hui fleurir
autant de mesures et directives contre les libertés individuelles.
Big
Brother Awards 2001
Les
Big Brother Awards (BBA), lancée en 1998 pour la première fois en Grande-Bretagne
par l'organisation Privacy International, sont organisés désormais dans
6 pays européens (Source : www.silicon.fr).
L'Allemagne, l'Autriche et la Suisse ont décernés fin octobre leurs trophées
2001 dans différentes catégories (Politique, Business). Ces prix "récompensent"
les sociétés ou organismes les plus intrusifs dans la vie privée (fichiers
illégaux, cyber- ou vidéosurveillance, biométrie, recueil illégitimes
de données personnelles). Cette année, le ministre allemand Otto Schilly
a reçu deux prix pour ses mesures d'urgence renforçant la surveillance
d'Internet et celle des communications téléphoniques. En Autriche, ce
sont les hommes politiques, Gerhard Köfer pour son plan "Kopfgeld" (équivalent
de mesures de dénonciation rétribuées) et Peter Westenthaler pour ses
positions prononcées en faveur de la biométrie, qui ont brillamment triomphés.
La Suisse a épinglé la caisse de maladie SWICA pour son logiciel de gestion
des absences. Du point de vue "Business", RealNetworks pour son logiciel
RealPlayer et Protect Com pour son logiciel espion Spector ont gagné en
Allemagne. Chez son voisin autrichien, ce sont Microsoft, Ars Electronica
ou bien encore la Poste Autrichienne (Post AG) qui se sont vues décerner
un prix. Microsoft a même porté réclamation, comme quoi on ne plaisante
pas avec les BBA(www.bigbrotherawards.at).
Enfin, les organisateurs suisses ont donné l'Award "Communication" à leur
service de renseignement militaire pour son système d'écoute ONYX (anciennement
Satos-3). Nous attendons avec impatience les résultats des BBA 2001 français,
normalement prévue début 2002. Pour déposer des candidatures : bigbrotherawards@internatif.org
La
Convention sur la cybercriminalité est adoptée
Les
43 Etats membres du Conseil de l'Europe ont officiellement adopté à Strasbourg
la convention sur la cybercriminalité, qui deviendra le premier document
international contraignant dans le domaine d'internet. Le texte, ouvert
à la signature des Etats membres le 23 novembre à Budapest , entrera en
vigueur après que cinq Etats, dont au moins trois du Conseil de l'Europe,
l'auront ratifié. Les Etats-Unis, le Japon et le Canada, qui ne sont pas
membres du Conseil de l'Europe mais bénéficient du statut d'observateur
auprès de l'organisation, sont invités à ratifier cette convention à la
rédaction de laquelle ils ont été associés. Ce traité, qui a suscité pas
moins de vingt-sept versions en quatre années d'élaboration, vise à renforcer
la coopération internationale dans la lutte contre la cybercriminalité
par l'adoption d'une législation commune. Il enjoint les Etats de poursuivre
pénalement un certain nombre d'infractions relatives à l'usage des réseaux,
telles que les accès illégaux, la falsification de données, la diffusion
de virus ou les atteintes à la propriété intellectuelle, mais également
aux contenus lorsqu'il s'agit de pornographie enfantine. Il fixe également
aux fournisseurs d'accès des règles pour la conservation et le stockage
des données afin de permettre un contrôle éventuel, par les autorités
compétentes, des opérations et des messages informatiques susceptibles
de constituer des délits.La rédaction de cette convention a suscité les
critiques de certains fournisseurs d'accès internet qui demandaient notamment
un assouplissement de la disposition selon laquelle ils peuvent être tenus
de conserver pendant 90 jours les données susceptibles de servir à une
enquête judiciaire. (source : Reuters)
DESINFORMATION /
IMAGE CORPORATE (D.R)
L'euro,
la mauvaise foi des pouvoirs publics et les "Gentils Clients"
Comme
on pouvait s'y attendre en raison d'une ensemble de signaux faibles émis
depuis de nombreux mois par les différentes associations de consommateurs
et les nombreux reportages sur le sujet, le passage à l'Euro entraîne
bien une répercussion des coûts pour les entreprises sur leurs "Gentils
Clients". Bien que le gouvernement se montre rassurant là-dessus, ou plutôt
évite de s'attarder sur ce terrain glissant en omettant son droit d'information
légitime sur cette question, les prix en euros calculés par les entreprises
semblent s'arrondir par le haut depuis un certain nombre de mois. Au moins
deux études récentes de qualité, celle de l'Institut National de la Consommation
(INC) et celle du Ministère de l'économie, indiquent que la hausse est
effective, en particulier dans les petits commerces, mais aussi chez certains
grands manufacturiers. Depuis l'été 2000, les plus gourmands seraient
les lessiviers et fabricants de produits laitiers qui auraient augmenté
certains produits de plus de 35 % ! Merci Henkel, Procter, Danone et les
autres pour cette volonté de transparence vous avez vraiment des "Gentils
Clients".
ACTUPRO-Flash ! (D.R-M.P-A.B)
Lutter
contre les détournements de droits d'auteur sur Internet.
Le
logiciel Ipium de la société Laurion SARL propose un concept inédit sur
le Net : celui de rechercher des contenus textuels tirés de votre propre
Internet Selon le spécialiste Olivier Andrieu, qui l'a testé, cette application
ASP semble très bien fonctionner. Créée à Nice en août 2001 par Karim
Djendoubi et Georges Arnould (des anciens de Wanadoo), Laurion se positionne
ainsi très clairement sur le marché de la reproduction illicite de contenu
Ipium, lancé ce mois-ci, est un service de localisation de reproductions
documentaires sur Internet, destiné aux professionnels du contenu et de
l'information. Ipium est le premier produit basé sur la technologie propriétaire
dite du Parallel Sub-Matching Algorithm (PSMA). Les dirigeants de cette
jeune société pensent recruter quatre personnes avant avril 2002 afin
de développer et de commercialiser leur logiciel (Source : Journal du
Net). Pour de plus amples informations : www.laurion.com.
La
veille internationale comme stratégie : l'exemple de Tripette & Renaud.
L'entreprise
Tripette & Renaud, (fabrication et distributeur de machines pour l'industrie
agroalimentaire), propose aujourd'hui de nouvelles techniques de manutention
pour le tamisage et la séparation granulométrique de la farine et des
céréales. A la base de ces nouveaux process, la veille technologique et
normative. En effet, T & R s'appuie depuis plusieurs années sur une veille
technologique et réglementaire internationale, qui lui permet de renforcer
chaque année son savoir-faire et ses compétences pluri-sectorielles (IAA,
Chimie, Pétrochimie, Pharmaceutique). L'entreprise estime que cette stratégie
de veille explique en partie une bonne part de sa croissance depuis 1996
(Source : EDGplastique.com, 06/11/2001).
Attention,
Google voit loin
Depuis
quelques semaines, le fameux moteur de recherche n'arrête pas de faire
parler de lui. Presse généraliste, presse spécialisée, forums de discussions,
tous relatent le fait que Google peut désormais indexer les formats .doc,
.xls et .ppt, en plus des formats RTF et PDF qu'il enregistrait déjà avant.
D'après le chroniqueur Michel Dumais, du quotidien québécois Le Devoir,
plusieurs centaines de documents des services gouvernementaux du Québec
sont restés visibles pendant plusieurs jours avant que les administrateurs
Réseaux réagissent (www.branchez-vous.com,
Novembre 2001). D'autres institutions publiques auraient également été
dans le même cas : aussi bien aux états-Unis (Ministère de la Défense),
qu'en France (Secteur nucléaire), en passant par la Suisse. Les performances
de Google, uniques actuellement, ne sont pas sans poser de problèmes :
les administrateurs réseaux et les webmasters devront désormais veiller
à ne plus sauvegarder de documents sensibles sur leur serveur d'entreprise
ou sur celui de leur site Internet. Pour avoir testé ces nouvelles fonctionnalités
à la mi-novembre, la rédaction admet que certains documents ne devaient
pas se trouver là et que la plupart des sites impliqués sont encore publics
ou parapublics, ce qui est inquiétant malgré les correctifs apportés.
Selon les experts, Google indexerait plus de 1,5 milliards de pages
fin septembre 2001 et d'autres innovations technologiques seraient à attendre
dans les mois qui viennent (Journal du Net, 07/11/2001).
Toujours
Google qui voit très loin ... (suite) !!!
Le
nouveau Google poursuit sa progression en octobre. 1ère Position et son
partenaire Xiti présentent les résultats pour octobre 2001 du baromètre
"site centric" consacré aux outils de recherche francophones (moteurs
et annuaires). La deuxième vague de ce baromètre mensuel confirme les
tendances annoncées en septembre : Google génère à lui seul plus d'un
tiers du trafic des sites web. Google France arrive largement en tête
du classement avec 32,9 % de trafic généré, soit une progression de 1,5
% par rapport à septembre 2001. Yahoo France arrive en seconde position
avec 21,8 % de trafic généré (- 2 %), suivi de Voilà.fr 17,8 % (- 0,3
%), Lycos France 9,3 % (- 0,1 %), MSN France 7,3 %(- 0,1 %), Altavista
France 3,7 % (- 0,7 %), Nomade 2,4 % (- 0,2 %), Netscape 0,9 % (- 0,3
%), Excite 0,7 % (- 0,1 %), Francité 0,4 %, Ecila 0,1 %, Hotbot France
0,1 %, Looksmart France 0,1 %, Ctrouvé <0,01 %et Northern light <0,01
%. (Christine Weissrock - Atelier BNP Paribas - 15/11/2001).
Le
nouveau Dun et Bradstreet
Dun & Bradstreet, leader mondial sur l'information
d'entreprise, s'apprête à changer de nom en adoptant l'acronyme D&B. La
société en profiterait également pour changer son identité corporate :
logo, signature, charte graphique. Le logo devrait rester en bleu, couleur
symbole de l'entreprise, et son slogan serait désormais : "Décider en
toute confiance" (CB News, 07/11/2001).
La recherche
sur Internet : une forte demande sur le marché de la formation.
Deux
principaux organismes de formation continue, la CEGOS et l'AFPA (Association
pour la Formation Professionnelle des Adultes) s'accordent à dire que
les formations liées à Internet connaissent des situations contrastées.
La demande pour la découverte basique de l'environnement Web est en stagnation,
alors que celle dédiée à une utilisation plus poussée a tendance à fortement
augmenter. En tête, les formations sur les recherches d'informations à
partir des principaux moteurs de recherche. (La Tribune, 29/10/2001).
Selon nos informations, la clientèle favorite de ce genre de formations
serait les chefs de Produits et responsables Marketing pour les grands
groupes ainsi que des chargés d'études et cadres découvrant la veille
dans les structures moyennes.
face="Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif" size="3" color="#660000">A la UNE - Presse et Web en revue
"Les dirigeants sont pénalement responsables de l'insécurité du SI", O1 Informatique, 12/11/2001 par Corinne Zerbib.
External'Press, la solution RP des PME-TPE", www.lesinfos.com, Rubrique Actualité du High Tech, 10/11/2001.
"Presse Plus mâche l'info pour les entreprises", La Tribune, 02/11/2001, par Nathalie Chevenne.
i-Manage
et Lexmark s'associent dans la gestion documentaire
La
combinaison entre iManage WorkSite et les produits de la gamme X-Series
de Lexmark, donne naissance à une solution globale de gestion documentaire
(Net economie 20 nov 01)
Des
agents intelligents sur les téléphones mobiles,
Agentland.fr,
le site web dédié aux agents intelligents et à l'intelligence artificielle,
annonce qu'en octobre au Japon à l'occasion du lancement des réseaux mobiles
de 3ème génération, des agents intelligents ont été lancés. La société
Artificial Life a par exemple développé le service "ALife Mobile" capable
de fournir des informations personnalisées selon le profil de l'utilisateur.
Cet agent intelligent va scruter Internet à la recherche des informations
que vous avez demandées et vous les présenter en temps voulu de manière
précise et concise. Il filtre et organise les résultats avant de vous
les présenter directement sur votre téléphone pour que vous ne perdiez
pas de temps. D'après Agentland.fr, d'autres types d'agents intelligents
mobiles ont été développés. Ils exécutent leurs tâches en arrière plan
sans déranger le possesseur du téléphone mobile dans son utilisation quotidienne
du téléphone. C'est le cas de "Topia Personal Agents" qui travaille téléphone
ou palm éteint. Topia Personal Agents assiste l'utilisateur dans ses tâches
journalières comme la gestion de votre emploi du temps, l'organisation
d'un voyage, les achats en ligne, etc. www.agentland.fr
(LES INFOS.COM du 23 nov 01)
Le
"Background Check" pour les pauvres.
"Un
service de vérification de CV qui laisse à désirer", p. 160, Capital,
octobre 2001. Cette brève de la rédaction du magazine nous informe que
"l'on peut garantir à 100 % la véracité des informations fournies par
un candidat pour la modique somme de 1000 FF". En effet, ce service est
proposé par les 2 cabinets de recrutement suivants : Consensus à Paris
et Ceriv à Rennes. Ces deux cabinets demandent en effet la copie des diplômes
des candidats ou bien encore appellent les Directions RH des anciennes
entreprises pour vérifier le bien fondé des postes mentionnés sur le CV.
(Ndlr : ah oui, personne n'y avait encore jamais pensé ! Le magazine Capital
qualifie cette idée de naïve, pour ma part, je rajouterai plutôt l'adjectif
RE-VO-LU-TION-NAIRE !).
L'importance
des réseaux humains.
"Les
limiers de veille concurrentielle", Les Echos, 02/10/2001. Cet article
fait le point sur l'utilité et le rôle des cellules de veille dans une
entreprise. Il souligne, entre autres, qu'il est essentiel de bien définir
les besoins de l'entreprise dans ce domaine et qu'une telle cellule ne
doit en aucun cas remplacer ou empiéter sur les propres réseaux des dirigeants.
On notera en particulier les exemples des réseaux gravitant autour de
3 grands groupes français : Vivendi, PPR et Areva (nouveau holding du
nucléaire français). Pour Vivendi, J6M et ses collaborateurs s'activent
autour des intellectuels et de grands universitaires français, pour PPR,
Alain Minc use de son influence, et Areva compte sur le réseau normalien
et celui de la haute fonction publique de sa dirigeante, Anne Lauvergeon.
L'Affaire
Clearstream : suite.
Brèves,
Quotidien Le Jeudi (Luxembourg), 04/10/2001. Le journaliste d'investigation
Denis Robert promet une suite de son livre polémique "Révélation$" dont
la trame principale fait écho de malversations passées au sein de Clearstream
International. Société de règlement livraison de titres, Clearstream est
au centre d'une affaire présumée de blanchiment d'argent sale. Cet organisme
est une societe qui sert d'intermédiaire entre les banques. (Ndlr : Elle
est soupçonnée d'avoir abrité des comptes non publies de clients peu transparents,
dont la fameuse banque russe MENATEP, impliquée dans des détournements
de fonds provenant du FMI pour plus de 10 milliards de dollars). C'est
ce livre du journaliste lorrain Denis Robert, co-écrit avec le financier
luxembourgeois Ernest Backes, qui a amené le parquet du Luxembourg à ouvrir
une information judiciaire. Deuxième conséquence du livre : les dirigeants
de Clearstream ont été suspendus par les actionnaires de l'entreprise.
Denis Robert aurait en sa possession de nouvelles informations accablantes
sur "la boîte noire de la mondialisation financière", comme il aime à
l'appeler. Malgré les procés que Clearstream lui intente et les pressions
qui sont exercées sur lui depuis la parution de "Révélation$", il ne semble
pas vaciller.
Commerce
monde - ( Marc Turcotte)
"A
l'opposé de l'utilisation de l'intelligence économique par les dirigeants
d'entreprise, il y a la "contre-intelligence", ou comment préserver les
informations "délicates" de la société qui pourrait se retrouver entre
les mains de concurrents.
L'auteur présente de manière générale la problématique de la sensibilité
de certaines informations. Il insiste sur les sources potentielles d'informations
à contrôler :
Sources internes comme le courrier électronique, les fichiers informatiques,
devis, billets d'avion
Sources externes : ce qui est écrit sur l'entreprise par les journaux,
reportages
Le personnel : "la source la plus fragile et la plus difficilement contrôlable".
Le personnel peut donner des informations de façon inconsciente en discutant
avec une personne mal intentionnée qui le fait parler de ses activités.
L'article termine sur des pistes de solutions préventives telles que développer
des guides et directives de sécurité, procéder à un audit continuel de
la sécurité de son entreprise, sensibiliser ses employés notamment et
ne pas multiplier les diffusions de documents lors de salons...
Juridiquement
votre
Nouvelle rubrique
sur ZATAZ Magazine dédiée à la loi et Internet. Elle sera tenue par Maître
Serge Tavitian, avocat à Marseille. Le premier article concerne La confidentialité
des courriels ou quand "big boss" ne peut plus être "big brother". Un essai
d'explication de la jurisprudence de la Chambre sociale de la cour de Cassation
en date du 2 octobre 2001 ( zataz 12 nov 2001) http://www.zataz.com/zataz/justice.htm
RUBRIQUE INTERNATIONALE
Cetelem
signe son premier accord de partenariat bancaire en Asie, avec ThaiFarmers
Bank, 2eme reseau bancaire prive en Thailande
Cetelem,
leader europeen du credit a la consommation, et Thai Farmers Bank (TFB),
2eme reseau bancaire prive thailandais, ont annonce, le 29 octobre 2001
a Bangkok, la signature d'un accord de partenariat dans le domaine du
credit a la consommation en Thailande. Cet accord, operationnel des mi-novembre
2001, permettra a Cetelem d'elargir son activite en Thailande, via sa
filiale Cetelem Thailand Ldt, et a TFB de consolider son developpement
sur le marche du credit a la consommation. Une premiere en Thailande Cet
accord constitue une nouveaute importante. Il s'agit du premier partenariat
alliant un grand acteur du marche bancaire thailandais a un operateur
specialise etranger.
Selon cet accord, Cetelem Thailand Ldt, proposera aux clients de Thai
Farmers Bank un ensemble de produits de credit a la consommation : le
premier produit commercialise est un pret personnel destine au financement
de l'amelioration de l'habitat, des vacances, des soins medicaux, de l'education
et des petites motos. D'autres produits, tels que les comptes permanents
seront commercialises prochainement. Thai Farmers Bank s'appuiera sur
le savoir-faire et l'expertise de Cetelem Thailand Ldt pour developper
ses activites de credit a la consommation, en offrant des produits et
services adaptes aux besoins des consommateurs thailandais. Ces produits
seront distribues par le reseau TFB, principalement dans les zones urbaines,
des la mi-novembre 2001. Une etape majeure pour le developpement de Cetelem
en Asie Numero 1 en Europe dans les activites de credit a la consommation,
Cetelem gere un encours de 19,4 milliards d'euros a fin 2000. Depuis 48
ans Cetelem est le partenaire privilegie du commerce et accompagne le
developpement des grandes enseignes de la distribution. Il est aussi un
partenaire de reference pour les etablissements bancaires et les compagnies
d'assurance auxquels il apporte un savoir-faire reconnu en matiere de
credit.
Cetelem mene depuis plus de 15 ans une strategie d'internationalisation
qui l'a conduit dans 21 pays et est present en Asie dans trois pays :
la Coree, Taiwan et la Thailande.
Cetelem
Thailand Ltd, filiale de Cetelem, dont l'activite a demarre en juillet
2000, compte aujourd'hui plus de 200 collaborateurs et propose son offre
de credit a pres de 400 distributeurs. Presente dans les 4 principales
villes du pays grace a ses partenaires de la distribution, Cetelem Thailand
Ltd opere avec les principales enseignes locales (Home Pro, Data IT, IT
City, Future AV, Megastore,...). Dans le cadre de son partenariat mondial
avec Carrefour, Cetelem sert les 14 magasins Carrefour aujourd'hui implantes
en Thailande.
Ce partenariat avec TFB constitue une etape majeure pour le developpement
de Cetelem en Thailande. Il represente egalement une premiere illustration
en Asie, de la strategie de partenariat de Cetelem avec les reseaux bancaires,
fortement developpee en Europe..
Thai Farmers Bank (TFB), deuxieme banque privee thailandaise Fondee en
1945 par la famille Lansam, Thai Farmers Bank represente 15% du marche
local. Elle dispose de 530 agences reparties sur l'ensemble de la Thailande
et emploie 11 400 employes. Elle compte 4 millions de clients et constitue
le principal emetteur bancaire de cartes de credit. Elle a ete, des novembre
2000, la premiere banque a proposer ses services sur Internet. Le partenariat
avec Cetelem va lui permettre d'une part de completer la gamme de ses
produits et, d'autre part, de consolider l'image d'institution financiere
moderne, creative et pionniere qui est la sienne en Thailande.(Copyright
2000 PRLine)
Informations complementaires sur le site internet : http://www.cetelem.com
Contact : Catherine Sainz - Tel : 01 46 39 12 73 - Fax : 01
46 39 99 43 - e-mail : catherine.sainz@cetelem.fr
Maroc
- Le Centre national de documentation est en ligne
Le CND vient de mettre ses données en ligne. Le site comprend un moteur
de recherche et des outils de veille informationnelle.
Lien : http://thot.cursus.edu/rubrique.asp?no=16335
APPLET
- Petit
programme informatique lié un document web qui enrichit les fonctionnalités
d'une page : animation, personnalisation, etc...
BALISE
- Il
s'agit des deux extrémités d'un lien hypertexte. La balise source correspond
à l'endroit à partir Duquel vous cliquez, andi que la balise de destination
correspond à l'endroit vers lequel vous êtes dirigé.
ONGLET
- Les
onglets d'une boite de dialogue la présence d'informations en
arrière plan. Il suffit de cliquer sur l'onglet voulu pour que les informations
viennent au premier plan. Cela revient en quelque sorte à ouvrir un livre
à une page donnée.
SPIDER
- Il
s'agit du robot principal du moteur de recherche. Il regroupe trois processus
: le "hooper" qui est la base de données de liens, le "crawler" qui référence
les fichiers et l "indexeur" qui les indexe et réactualise en permanence
la base de liens.
- Livres parus - les titres du mois -
Trouver
l'info sur le Web.
Auteur
: Olivier Andrieu - Editions EYROLLES 20001 - 261 pages - 131, 20F (20
Euros)
Qui
n'a jamais cherché d'infos sur le web, alors qu'elle était à portée de
clic ? Qui ne s'est jamais perdu dans la masse de sites web proposés par
une recherche ? Pour aboutir à des résultats optimum en un minimum de
clic ce livre propose 50 fiches pratiques, illustrées par des dessinateurs
de bande dessinée, qui vous apprendront à mieux formuler vos requêtes
et vous permetront de mieux connaître les particularités des outils de
recherche. Ce petit manuel regorge de conseils et de trucs pratiques.
L'auteur reprend le ton didactique qui a fait la réputation de ses précedents
ouvrages. Facile d'accès, l'ouvrage est également plaisant à lire, bd
oblige, il est destiné aux novices comme aux spécialistes. Olivier Andrieu
est sans conteste la référence du référencement sur le sol français. Son
site, Abondance.com , est le point de passage obligé de tout professionnel
ou débutant en quête d'informations sur les outils de recherche et le
référencement. Un cadeau de Noël idéal !
Manuel
de prospective stratégique - Tome 2 -, L'art et la méthode. 2ème edition
Auteur
: GODET Michel ( paru le 5.10 2001 - Prix :235, 03 F (34, 04 euros)
Sortie de la 2ème édition de l'ouvrage "Manuel de prospective stratégique"
de M. Michel GODET , pionnier et expert de la question. Si la prospective
est une indiscipline intellectuelle, elle a aussi besoin de rigueur et
de méthodes pour éclairer l'action des hommes et l'orienter vers un futur
désiré. Les outils de la prospective stratégique permettent de poser les
bonnes questions et de réduire les incohérences de raisonnement. La prospective
est aussi un art qui, pour s'exercer, a besoin de talents tels que le
non-conformisme, l'intuition et le bon sens. Ce deuxième tome est entièrement
consacré à la présentation concrète des méthodes pour : o identifier les
questions clés du futur (analyse structurelle) ; o analyser les jeux d'acteurs
(méthode Mactor) ; o explorer le champ des possibles (analyse morphologique)
; o repérer les scénarios les plus probables et les risques de rupture
(méthode Prob-Expert) ; o identifier et évaluer les options stratégiques
(méthode Multipol). Cette deuxième édition est enrichie de nouvelles illustrations
et de multiples pratiques opérationnelles, comme les Ateliers de prospective
stratégique, qui facilitent l'appropriation, la mise en oeuvre et la réussite
d'exercices de prospective appliquée.
Fruit de plus de vingt-cinq ans de réflexions et d'interventions auprès
des entreprises et des collectivités publiques, ce manuel de prospective
stratégique s'adresse aux dirigeants, ainsi qu'à tous ceux qui sont impliqués
dans la conduite du changement. (résumé Decitre)
Informations supplémentaires sur le site : http://www.decitre.fr/
- A lire et à relire - rappel de titres parus -
Intelligence
économique sur Internet
Auteur Djamchid ASSADI - Editeur : Publi Union - ISBN : 2-85790-114-3
La
maîtrise de l'information joue un rôle déterminant pour les décideurs marketing
en ce qui concerne les prises de décision opérationnelles ou stratégiques.
Mais quel est le média aujourd'hui capable de fournir des informations
au même rythme que celui des changements des environements que connaissent
les décideurs. Internet est sans doute la réponse unanime. Toutefois le
potentiel informationnel de ce média est presque toujours mal exploité.
L'utilisateur, même initié aux études et à la veille, se contente de la
recherche des informations sans discerner l'ivraie du bon grain et san
savoir tirer parti d'internet pour créer des informations sur mesure via
sondage , panels , focus groups, etc...
L'objectif de l'ouvrage est de montrer justement les chemins qui mènent
aux données sans que l'on se perde dans la jungle d'internet.
- LE SITE DU MOIS -
Un forum sur l'actualité des outils de recherche
Le guide
des moteurs et annuaires francophones, "Enfin.com", lance un forum sur
l'actualité des outils de recherche et un accès aux requêtes saisies par
les internautes.
A travers ce forum (http://www.enfin.com/actu/), le portail se propose
de mettre en relation les webmasters d'outils de recherche et les utilisateurs
de ces moteurs et annuaires.
- Les webmasters peuvent annoncer l'apparition d'un nouvel outil, de nouvelles
fonctionnalités, des changements au niveau de la technologie, de l'esthétisme
ou bien toute autre information pertinente.
- Les internautes peuvent ainsi suivre l'actualité, se tenir informé et
surtout, réagir en direct sur les annonces en encourageant les webmasters,
en suggérant de nouveaux changements ou exposant leurs idées.
Il est également possible de consulter les mots saisis par les internautes dans la boîte à requêtes (http://www.enfin.com/requetes.php). Un accès direct aux dernières expressions ainsi qu'une liste des 10 requêtes revenant le plus souvent sur "Enfin.com" a été mis en place. Copyright (c) 2001 L'Abeille du Web - 23 11 01 (http://www.abeilleduweb.com)
Jeune organisme
créé en février 1999, l'Agence Wallonne des Télécommunications (AWT) est
un établissement public qui a pour mission de promouvoir l'accès aux technologies
de l'information et de la communication (TIC) et d'inciter à leur usage
généralisé en région wallonne.
Réalisé grâce aux technologies de J-Way (http://www.jway.lu), elle vient
de réaliser un guide qui a pour objectif de mettre à la disposition des
PME wallonnes une méthodologie illustrée pour l'implantation de leur projet
e-business. Il concerne dans un premier temps le business to business
(B to B), le business to consumers (B to C) et l'intermédiation.
Faire gagner du temps aux PME wallonnes dans la conception et la mise
en oeuvre de leurs projets TIC en balisant la piste et en favorisant la
dissémination des meilleures pratiques ; Démystifier l'e-business pour
favoriser l'établissement d'un climat de confiance vis-à-vis des applications
commerciales des TIC.
Ce guide, destiné aux PME, s'adresse en priorité aux :
- Chefs d'entreprise de petite taille ;
- Sociétés de conseil travaillant essentiellement avec les PME ;
- Opérateurs de développement économique ;
- Opérateurs de formation.
L'expérience montre que les retards ou les échecs dans les processus d'implantation
de l'e-Business dans les PME sont dus à la méconnaissance des outils disponibles
et de leurs usages ainsi que des méthodes d'implantation d'un projet TIC.
La société J-Way (http://www.jway.lu), forte de son expérience sur le
marché du Knowledge-Publishing (Publication personnalisée de la connaissance
: Branche du Knowledge Management) a réalisé la solution technologique
sur le principe du one to one
Prochain objectif de J-Way :
"Nous allons réaliser, en collaboration avec l'AWT, un ouvrage électronique
destiné aux sites institutionnels français (écoles de commerce, chambres
de commerce, fédérations) et d'une manière générale aux intermédiaires
en charge d'informer les entreprises ou les étudiants pour permettre aux
consultants, dirigeants et organisations de s'informer en vue de construire
leur démarche d'intégration de l'E-Business dans leur activité." Jean-Marc
Boueyrie, Pdg. de J-Way.
Informations - contact : Thierry PEREZ Responsable Communication J-Way
"Bring Power to Knowledge " Luxembourg, Paris Tél. : 00-352-54-22-23-
Fax : 00-352-26-53-16-17
La
"Lettre de l'Intelligence économique et stratégique" est réalisée
par Infobox-fr - Agence de contenu éditorial pour site Web - Département
de Groupe I.Com Directeur : Maxime Paulet - Journaliste - Consultant-
Collaboration rédactionnelle et documentaire : Aïcha Bala - Dominique
Renard.